PLANTS VS ZOMBIES GARDEN WARFARE – Test Xbox One

Ultra addictif sur tablettes et smartphones depuis quelques années, le concept Plants VS Zombies vient de débarquer dans une approche différente en exclu sur Xbox One… Le principe de Plants VS Zombies est simple : sur un terrain (jardin ou autre…) on dispose différentes plantes « vivantes » pour contrer l’arrivée de vagues de zombies. Il faut donc défendre notre maison. Tournesols, cactus et autres plantes carnivores sont donc nos « outils » pour en découdre à travers divers tableaux. Très fun, ce concept est donc désormais disponible sur Xbox One avec Plants VS Zombies Garden Warfare. Mais cette fois, nous sommes dans un gameplay FPS (d’où le jeu de mot dans le titre…) qui varie donc l’expérience de jeu. Cette fois-ci on incarne donc directement une plante (ou un zombie dans certains modes) dans un univers 3D. Il faut toujours défendre son jardin contre des vagues de zombies mais en se déplaçant, en artillant comme dans un jeu de guerre, etc..

On dispose de 4 classes différentes avec des capacités précises : le pisto-pos sera parfait pour le tir de loin à différentes cadences, le tournesol peut lui aussi balancer des projectiles mais il peut aussi guérir ses coéquipier, le mordeur, plus propice au corps-à-corps pourra engloutir un zombie entier et enfin, le cactus permettra d’user d’un tir encore plus précis de loin mais aussi de poser des mines patates… En fait, chaque classe gagnera au fur et à mesure du jeu de nouvelles armes secondaires comme par exemple des murs de protection ou autres explosifs par exemple… Les zombies sont également répartis en 4 classes  avec un soldat capable de jouer du jetpack, un scientifique qui se téléporte, un sportif rapide et puissant ou encore un ingénieur armé d’un marteau-piqueur…

Vous l’aurez compris, cet opus fait la part belle à l’action et aux champs de bataille. Mais malgré tout, il faudra toujours penser à protéger sa zone avec notamment des pots de fleurs qu’on pourra garnir de plantes de défense (dragons cracheurs de feu, champignons artilleurs, tournesols régénérateurs…). Bien sûr, ces armes à planter seront à acheter en magasin via des packs (aléatoires) grâce aux crédits obtenus à la fin de chaque parties. Mais les zombies restent assez malins également et ils pourront surprendre la défense des plantes avec, ponctuellement, l’arrivée d’un zombie yéti, d’un zombie « disco » déjanté ou encore de zombies géants plutôt costauds…

Plants VS Zombies GW propose plusieurs modes jeux. Pour commencer le mode Jardin Ops propose de jouer à 4 joueurs en coop contre des vagues d’ennemis gérés par l’IA. Un mode local permet de défendre sont jardin à 2 joueurs en écran partagé. Enfin, un mode multijoueurs permet de vivre de véritables Team Deathmatchs chez les plantes ou chez les zombies pour des joutes explosives dans différentes zones. Dans ce dernier mode on trouve également une variante de capture de drapeaux intitulé Jardins et Cimetières. Notons sur Xbox One, le mode Boss qui permet à un joueur de prendre le rôle du boss via smartglass par exemple. Avec une vue aérienne sur le champs de bataille il peut par exemple donner des bonus à se coéquipiers…

Côté environnements, on nous propose des choses variées et bien conçues mais on tourne vite en rond entre la zone de banlieue, la plage, le cimetière… En tous cas, la réalisation est honnête avec des ambiances colorés bien senties et des détails dans le décors souvent amusants.

Si le jeu propose des modes classiques et peu nombreux, on apprécie la possibilité de faire progresser les combattants avec de nouvelles armes amusantes et même des customisations délirantes. Par contre, le système de pack aléatoires à acheter ne permet pas toujours d’évoluer comme on le souhaite. Il faudra refaire beaucoup de parties avant de décrocher des améliorations ou des personnages vraiment évolués.

S’il est peut-être plus efficace sur tablette, ce Plants Vs Zombies à la sauce FPS est une excellente idée plutôt bien convertie sur Xbox One. Il a aussi l’avantage d’être un FPS accessible au plus jeune et c’est assez rare pour le souligner…