CHILD OF LIGHT – Premières impressions
Très attendu, le nouveau bijou videoludique des studios Ubisoft Montreal intitulé Child of Light sera de sortie le 30 avril prochain sur différents supports dont la Xbox One (version testée en l’occurence…). Utilisant le moteur graphique UbiArt Framework de Rayman Legends, Child of Light est un jeu mêlant réflexion, plate-forme et RPG dans un univers franchement poétique avec des graphismes comme peints à la mains. Une merveille au premier coup d’oeil. Et au premier battement d’oreille car la musique d’ambiance de Chilf of Light est incroyablement enivrante…
Dans ce conte intéractif, le joueur incarne Aurora, une jeune princesse morte aux yeux de sa famille… mais qui, en fait, se réveille dans un monde étrange peuplé de monstres… S’amorce alors une aventure avec une forte intrigue. Très vite, on fait la connaissance de l’Igniculus, une sorte de grosse bestiole de lumière bleue qui va nous aider dans notre quête. En solo, on peut la contrôler avec le stick droit ou confier tout cela à un deuxième joueur si on le souhaite. L’Igniculus aura pour tâches d’éclairer Aurora ou bien de ralentir ses ennemis et surtout récolter des points de vie ici et là.
Niveau gameplay, Aurora se dirige donc de manière simple en scrolling horizontal ou vertical. Elle saute, pousse des objets pour se hisser plus haut, etc.. Mais concernant les monstres rencontrés ils déclenchent des combats au tour par tout comme dans les RPG. Personnellement je n’aime pas du tout ce mode de combat mais il est certain que cela ravira une majorité de joueurs et il faut avouer que cela confère aussi à Child of Light une certaine originalité. Du coup, Aurora nécessite de gagner en expérience au fil du jeu pour mieux affronter les créatures de plus en plus puissantes qui arrivent… Typiques des RPG également, les potions et autres cristaux à combiner, etc..
Après quelques heures de jeu, Child of Light tient ses promesses de RPG atypique avec son univers marqué et parfaitement réalisé. On est acteur d’un rêve (ou cauchemar…) éveillé qui mise clairement sur la poésie. Une belle oeuvre d’art se profile…
