Qui aurait cru qu’un tel concept irait jusqu’à un épisode 3? En effet, un simulateur de chèvre déjà c’est pas banal mais en plus c’est marrant 5 minutes non? Et bien figurez-vous qu’on a joué longuement à Goat Simulator 3 et on aime encore plus qu’avant… Et sinon, au fait, cet épisode 3 est le 2… ne cherchez pas à comprendre…
Inspiré à a base par les open-world à la GTA, Goat Simulator est un défouloir loufoque qui nous emmène cette fois sur une ville insulaire où tout est possible mais rien n’est utile. Effectivement, pas d’intrigue, pas de réel but si ce n’est d’ouvrir la porte magique des différentes tours au look Fantasy qu’on trouve partout en ville.
On a donc finalement un but, celui de réussir tout un tas de petites missions aussi farfelues les unes que les autres : gagner des élections, remplir un garage de colis, déplacer une maison, taguer des murs, affronter une grand-mère armée d’un fusil et j’en passe…
Bourré de références à d’autres jeux vidéo notamment, le jeu est toujours plein de surprises et on prend un malin plaisir à tout dénicher. Imparfait techniquement le jeu est plein de bugs mais parfois on se demanderait si ce n’est pas fait exprès… Quoiqu’il en soit ça ne gâche pas notre plaisir et on s’amuse de la physique du jeu, très aléatoire. On sera par exemple très souvent projeté des centaines de mètres dans les airs sans que ce soit vraiment logique. Mais on appréciera tout autant le fait d’envoyer dans les airs des pnj de différentes manières.
Car oui, notre chèvre peut s’équiper de tout un tas de choses. De manière standard elle peut lécher et donc attraper avec sa langue n’importe quel objet ou personnage. Elle peut aussi donner des coups et bêler sans raison. Mais au fil du jeu on débloque plein de choses : des épées, des lances-pizza, des portes-voix dévastateurs, etc… on pourra même faire tomber des dizaines de chèvres du ciel quand ça nous chante ou devenir une girafe ou un cochon…
Ce jeu est fou, vous l’aviez compris. C’est le parfait bac à sable à jouer entre amis puisqu’il est possible de le faire en écran splitté et ça c’est franchement cool.
Et puisqu’on est dans la folie, je ne vous ai pas dit mais notre chèvre peut parfaitement conduire n’importe quel véhicule de la map. Un bon moyen d’aller plus vite vers le prochain défi même si on trouve également des points de réapparition un peu partout. De toutes façons les maps n’est pas immense non plus. Par contre elle propose de nombreux secrets cachés… Le jeu propose aussi des mini-jeux, de foot par exemple ou bien de shoot inspiré de Splatoon…
Ajoutons à cela des capacités de Yamakasi… voilà que notre chèvre court sur les murs, glisse sur les câbles téléphoniques et grimpe aux échelles…
Bon. Voilà. Goat Simulator 3 est tellement cinglé qu’on ne peut qu’adhérer! Techniquement c’est perfectible… dans le contenu certains pourraient crier au scandale… mais quoiqu’il en soit, qu’est-ce qu’on s’amuse! Surtout à plusieurs en local ou en ligne (jusqu’à 4). Des jeux qui rend est chèvre on en a vu un paquet… mais celui-ci, il est à découvrir sans plus attendre! (Notez que le jeu a fait l’impasse des anciennes générations de consoles et n’est dispo que sur PC, PS5 et Xbox Series)