NESPRESSO CITYZ – Test Expresso!!!
Un test un peu étonnant je vous le concède, quoique pas plus étonnant que le test d’un aspirateur-robot il y a quelques temps… Je vous propose en effet le test d’une machine à café expresso : la Nespresso Cityz. Je sais fort bien que les geeks aiment aussi les appareils électroménagers qui lorgnent sur le hi-tech, et étant moi-même buveur de café, ce test est justifié finalement.
Georges Clooney vous l’aura souvent rabâché, les machines Nespresso sont des machines haut de gamme qui permettent de profiter d’un excellent café grâce à un système de dosettes uniques.
Pour parler plus précisément du modèle testé, nous avons donc ici l’une des gammes les plus abordables de la marque : la Cityz. Fabriqué par la marque Krups, cette chouette cafetière allie design et simplicité. Profonde mais étroite, elle se case bien dans la cuisine et son aspect coloré et chromé en jette un max. En ce qui concerne l’utilisation elle est ultra-simple : un réservoir d’eau qui se clipse, un bouton on/off, deux choix de café : court ou long, un compartiment où insérer les dosettes et un réceptacles en dessous. Devant, on peut pose, soit une grande tasse, soit une petite grâce à la petite tablette basculante.
Les dosettes sont donc des dosettes inventées par Nespresso avec une forme unique. A la différence des dosettes souples de type Senseo par exemple, ici elles sont coniques et en alu. Elle s’insèrent dans le compartiment prévu et on ferme le couvercle ensuite qui épouse la forme de la dosette. Le café sort ensuite par de minuscules trous créés par l’action de la machine. On obtient alors un café toujours dosé de la même manière avec une mousse onctueuse et permanente, un vrai bonheur.
Il existe environ 18 sortes de capsules pour différents types de café : Expresso, Lungo, Pure Origine, etc.. On dispose alors d’un choix sur la force du café sur une échelle de 1 à 12. Pour ce test, je disposais de 4 variétés différentes : Arpeggio (un café intense de force 9), Vivalto Lungo (un arabica plus léger de force 4), le Pure Origine Rosabaya de Colombia (un café fruité de force moyenne 6) et enfin le Kazaar (édition limitée 2010 d’un café poivré à fort caractère : force 12!).
On sent bien, dans chaque variété, un goût particulier, une force différente mais à chaque fois, on trouve un café onctueux et goutu, très agréable à savourer.
Mais bien sûr, sans compter que la Cityz coûte déjà environ 180 €, les capsules ont un prix également… la qualité se paye et il faudra compter entre 33 et 37 centimes pour un café. Si vous en consommez beaucoup, la facture va faire mal à la fin du mois. Le café devient un luxe ici. J’en ai donc profiter pour essayer des capsules d’une autre marque, car la concurrence est devenu possible il y a peu et on trouve des dosettes pour Nespresso chez Maison du Café par exemple… Du coup, on trouve un café à 29 centimes environ… on gagne un peu financièrement, mais au goût on atteint pas la qualité d’un vrai Nespresso. Cela manque d’onctuosité et le goût est bien moins intense…
Il faut savoir en tous cas que les capsules Nespresso ne sont disponibles qu’en magasins spécialisés ou par internet sur le site de la marque. Il vous faudra donc faire de bons stocks par correspondance pour être tranquille un moment et ne pas payer de frais de ports.
A l’utilisation, la Nespresso Cityz propose un chauffage de l’eau très rapide ce qui permet de ne pas attendre pour se faire un café. Une fois le café lancé, c’est un peu plus lent et la machine fait pas mal de bruit, dommage…
Pour résumé, si vous avez les moyens de vous payer du bon café au quotidien ou si pour vous, le café est un plaisir rare, les machines Nespresso sont faites pour vous. Si la machine Cityz reste abordable, il ne faut pas négliger le prix des dosettes pour en profiter. En tous cas, la qualité du café est bien là, c’est indéniable, et comme je l’ai dit plus d’une fois : la qualité, ça se paye… Alors… What Else? Bah rien…
