Le 27 mars au soir, la chaine Gameone organisait une une projection privée au cinéma Mac Mahon de G.I Joe : Conspiration avec hotesses armées et vêtues de latex…
En 2009, G.I Joe : Le réveil du Cobra (basé sur les fameuses figurines) est sorti en salle, offrant ainsi un spectacle d’actions non-stop, combats de sabre, guns et destruction de la Tour Eiffel. Avec un peu (beaucoup) de retard, la suite directe de celui-ci, Conspiration est donc arrivé dans nos salles obscures…
Les G.I Joe affrontent toujours leur ennemi mortel : COBRA, une organisation terroriste secrète qui a réussi à infiltrer le gouvernement américain et met ainsi en péril l’équipe des G.I Joe. Pour sauver le monde et déjouer les plans du COBRA, ils feront appel à celui qui à donner le nom à cette équipe : Joe Colton (Bruce Willis).
C’est un peu la crise chez les G.I Joe : armes plus ou moins impressionnantes et scènes plus ou moins à couper le souffle. Malgré une scène de voltige dans les montagnes qui est vraiment intéressante, le scénario est vraiment brouillon. On a un peu de mal à entrer dans l’histoire, savoir qui est qui, où, comment…
L’attitude de The Rock est le pilier du film, tout repose sur lui et c’est bien dommage car certains personnages mériteraient une plus grande importance. Bruce Willis est juste présent pour avoir son cachet d’acteur et c’est bien dommage, il est censé représenter Joe, le mec qui a fondé les G.I Joe quoi!
Les touches d’humour font oublier certaines longueurs du film mais ce que je trouve navrant par rapport au premier est le manque d’argen : les armes sont de vulgaires FAMAS, plus aucune technologies innovantes (à part la balle de sniper téléguidée et encore). La 3D est bienvenue notamment au début du film qui reste quand même très explosive.
G.I Joe: Conspiration reste un film d’action marrant à voir qui ne se prend pas trop au sérieux avec ses scènes un peu abusées au niveau de la gravité (Newton pourrait se retourner dans sa tombe). Un film dont on peut avoir besoin de temps en temps pour reposer son cerveau et souffler un peu. Rien de plus.
Critique réalisée par Max L. (Merci à Gameone pour l’invit ^^)