MERCURY Hg – Test PS3
Si vous entrez en phase de nostalgie quand je vous parle de Spindizzy ou Marble Madness vous devez avoir à peu près mon âge… Ces “vieux” jeux ont inspiré bon nombre d’autres jeux depuis des années et ces derniers jours c’est un certains Mercury Hg qui est sorti sur le Xbox Live et le PSN. On est donc en plein concept de jeux mêlant puzzle et adresse dans différents tableaux suspendus dans le vide…
Là où Mercury Hg se démarque c’est qu’il joue avec les éléments et notamment le mercure… On dirige en effet une boule de mercure liquide qui va avoir différents comportements en fonction des tableaux. Elle pourra par exemple se scinder en plusieurs morceaux, changer de couleur, etc..
Le but est simple, il faut mener cette boule liquide à une arrivée en tentant de choper le plus de bonus possible sur le passage. Mais il sera nécessaire souvent de trouver des couleurs pour actionner certaines portes tout cela bien sur en évitant de tomber dans le vide et en allant le plus vite possible…
Personnellement j’ai joué à Mercury Hg avec la fonction Sixaxis qui est plus adequat dans ce genre de jeu. En fait, on bouge ainsi tout le tableau pour guider la boule. Intuitif mais pas facile… Même si le jeu propose un tutorial pour se faire la main et découvrir les fonctions diverses, les premiers tableaux sont vite corsé et on devra souvent s’y reprendre à plusieurs fois (en fait ça dépendra de votre patience surtout…). Un mode Défi s’ajoute au mode Découverte pour augmenter la durée de vie du soft mais il y a de déjà de quoi faire avec certains niveaux plutôt tendus. Très vite il faut faire réellement preuve d’adresse et de réflexion en même temps pour mélanger les couleurs, diviser puis reconstruire sa boule, actionner des passerelles, etc… Un truc qui détend quoi!
Graphiquement, Mercury Hg est propre et coloré et son ambiance “scientifique” sur fond de tableau périodique est bien sentie. Avis aux amateurs du genre.
